/Suite de ici/

La nuit est tombé. Les quais commençait à se rafraîchir alors que ça et la les flambeaux des tavernes du coins et des recoins à badauds donnait une sorte d'ambiance de marais magique avec leurs aura enflammé chaude. D'habitude j'aime bien ce genre d'ambiance mais je dois avouer que ça fait bien deux heures que j'étais resté bloqué dans la même position que lorsque l'autre gamine me guerissa mon mal de crâne.

« M'sieur... Vous allez bien ? Cela fait quand même 2h … Oui ok j'ai les « mains magique » et alors ? »
« Bah … » Je me débloquais et me retourna vers elle. « … Bah c'est la première fois que je rencontre une mage quoi. »
« C'est votre première fois ? Et bah il n'y a pas de quoi fouetter une chimère non ? Bon. Il faut que vous sachiez que si j'attends la depuis 2h et que je vous suit depuis un moment c'est pas pour rien quand même... » Me dit-elle en refaisant une mine boudeuse.

Il semblerait que Lystern en avait marre du dehors. Je l'invitais donc à monter dans mon appart' histoire de mettre au clair tout ça. Mon immeuble n'était pas vraiment d'un look très accueillant en pleine nuit, mais je l'aime bien. Comme tout immeuble miteux il a ses habitants étranges, la voisine du 4è, vielle fille au 34 chats qui se met à gueuler en pleine nuit. Le voisin méfiant qui ne semble jamais sortir de chez lui, laissant les store s fermé, vous savez le mec du genre à soulever le dit store d'un coin d'une languette pour voir ce que vous fichez en bas de l'immeuble depuis 2H. Bref un immeuble des quais quoi. Mais il est bien mon HLM, même si il est blême.

Nous montâmes donc les quelques escalier qui séparait le rez-de-chaussé de mon appartement du 7è étages. Je fit cliqueter légèrement les clé qui devait laisser présager la pression que j'avais sous les épaules. Une fille. Chez moi. Enfin je veux dire une fille que je n'ai pas gagner suite à un contrat ou une de ces nanas dépravé des tavernes du coins. Non une fille à peu près normale avec des mains solaires magique qui font du bien à la tête. Tain … Et moi qui ai pas rangé l'appart... Heureusement les fenêtres sont ouvertes.

J'ouvre enfin la porte.

« Bon... Fait pas gaffe au bordel, je reçoit rarement du monde. »
« Pas de soucis. Sympa la déco ! »
« Si par déco tu entend bordel organisé, en effet. »
« Tu sais. J'ai jamais vraiment vu d'appartement. Tu as bien des choses à savoir sur notre peuplade... »
« Si tu le dis. Tu veux un kawa ? »
« Un … Quewa ? »
« Un Kawa. Un café. La boissons qui pique toute noir tu sais.. ? »
« Ha .. Heu oui. »
« Ok … »

Je préparait donc un café. J'en profitait pour sortir le reste de petit beurre que j'avais dans mon placard, heureusement pas encore rassit, j'avais pas eu le temps de faire les courses encore.

Après que le café soit coulé, j’apportai le tout.

« Tiens. Fais gaffe c'est chaud. »
« Merci ! »
« Bon allez. Raconte moi tout. Mais d'abords explique moi ce que tu as fait à ma tête. »
« Oh pour votre tête c'est simple. Vous voyez, ce que vous avez, comme nous autres, au front sont des catalyseur magique. En clair ce sont des pierres qui ont pour rôle d'aider à la transmission d'énergie magique et à facilité l'utilisation. Nous en avons tous de différente forme mais les pierres ont un genre spécifique en fonction de quel type d’ethnie la possède. Par exemple vous pouvez remarquer que les miennes sont des améthystes, elles le sont car c'est le propre des Djarallah Thaumaturge. »

Je restait pantoie quelques secondes. Elle vient de m'expliquer que je suis donc une sorte de mage ? WTF ?! Moi ? Un mage ? Mais j'ai toujours été normal moi !

« Attends... Je serais donc moi aussi capable de lancer des boules de feu et tout ? »
« A vrai dire. Je ne peux vous dire exactement si vous êtes mages, et si vous l'êtes je ne peux prédire de quel type. En effet vous devez savoir que lors de la grande réunification qui unit tout les Djarallah, des 3 mondes divins, une des ethnies Djarallah était non mage, une autre doué des même capacité et savoir-faire que vos alchimistes et enfin il y avait nous. Chacun avec des pierres différentes en fonctions de leurs spécialités, mais ces pierres ne servent réellement qu'aux Djarallah Mage et Alchimiste. »
« Ha... Donc j'ai sans doute potentiellement une chance de rester ce que je suis. »

Nan mais sérieux. Pour qui elle me prend avec cette histoire grosse comme la grosse Bertha du 3e ? Les Djarallah ? Des mages ? Des pierres magiques ? Ont se croirait dans Harry Potter ! Et j'aime pas les baguettes !

« Ecoute gamine... »
« Lystern. » Elle but une gorgée de café.
« Ouai c'est ça, Lystern... Ecoute sérieux ça me paraît quand même énorme ton histoire quoi. Puis qu'est-ce que j'ai à voir avec tout ça. Tout ce que ces bijoux font c'est me filer un mal de crâne... »
« Amplifié lors des pleines lunes je présumes... »
« ...Amplifié lors des pleines... WHUT ! Comment tu sais ? »
« La lune agis sur l’énergie magique. Plutôt une bonne chose. En effet si vous avez des migraines c'est sans nul doute du à vos joyaux. Cela expliquerait aussi le fait que l'IRM n'est pas fonctionné, en effet nos « runes » ne sont pas en adéquation avec la technologie moderne. »
« Comment tu sais pour l'IRM ? »

Elle montra ses runes.

« Ha ouai... Thaumaturge tout ça. Donc tu es capable de lire dans les pensée ? »
« Oui. A vrai dire je n'ai pas encore découvert tout mon potentiel. J'ai moi même quelques soucis. Mais rien de grave. Cependant pour vous... »

Elle s'approcha soudainement de moi. Son corps de jeune fille ayant glisser du canapé vers le miens, et sans scrupule elle approcha sa tête près de mon front pour l'examiner. J'avais une belle vu de la.

« Oui, c'est bien ce que je pensait. Elle sont en sommeil. »

Je me touchais le front, geste devenu banal depuis ce matin. Ces runes aurait donc une histoire, une utilité ? La vache. Si mes ''collègues'' savaient ça... Ouai non ils se foutraient de moi quand même. N'empêche... Maîtriser des pouvoirs cela pourrait être énorme.

Mais soudain Lystern se souleva du canapé et se dirigea vers la sortie à vive allure.

« Heu mais qu'est-ce que ? »
« Je dois y aller ! Je vais aller me renseigner sur votre cas et je reviendrais vous tenir au courant. Pas d'inquiétude pour la tpete vous ne devriez plus avoir de mal de tpete. »
« Mais... Et tout le récit que tu devait me faire sur les Djaramachin là ? A pu ? »
« On aura bien le temps d'en discuter plus tard. En attendant retourner à une activité normal ! »
« Heu... A tchao bon dimanche ? »
« ? »
« Rien laisse... »

Je la raccompagnait en bas. Pendant tout ce temps de parlote la brume s'était levé sur les doc, donnant à l'endroit un aspect plutôt glauque et inquiétant malgré les flambeaux toujours actif ainsi que les lampadaires. On se dit au revoir et je la vis partir en courant et disparaître dans le brouillard. Au moins, elle a pigé qu'il valait mieux courir dans ce genre d'endroit si on veut pas se faire chopper.

Je remontait tranquillement chez moi. Je repensait à tout ça. Je n'y croyais toujours pas.

H.R.P : Bon désolé du pavé. En plus c'est un peu sans doute pas super hyper génial mais bon j'experimente...

Une semaine s'était écoulée. Rien de spécial n'était arrivé. Je me faisait royalement chier.

En effet c'était en ce moment journée calme au bureau. Ethan roulait des mécanique, mais en même temps je le comprends tout roulait pour lui de son côté. Tristee je ne la voit pas des masses, je ne saurais dire si elle va bien ou quoi. En même temps on ne peut pas dire que nos relations soit digne d’intérêt, on est collègue quoi, je l'ai toujours trouvé assez froide, on dirait du pur métal c'te meuf...
Et le boss baaaah rien de spécial. Fidèle à lui même, même si en ce moment il est au four et au moulin a cause de cette histoire handicapé cramé qui à foutu la merde à la citadelle, d’ailleurs Ethan m'a prévenu que d'ici quelques jours on aurait une grosse mission à tenir...

En attendant je n'avais pas trop de missions en dehors des visites habituel, des quelques ''devoirs'' qui m'incombait comme le fait de suivre certaines personnes pour savoir si tout se déroulait bien et qu'on ne nous faisait pas de coup de pute, si coup de pute il y avait, j'avisais en fonction des règles fixé par le boss. En général on m’envoie surtout pour liquider si ça se passe mal, Ethan est soi-disant plus doué pour la parlotte, mais bon je ne suis pas sur qu'une batte de base-balls soit une raison valable pour dire qu'il se démerde mieux, enfin bref...

Voilà un peu donc le contexte de ma semaine plutôt calme, je restait planté devant ma téloche, je sortais de temps en temps boir un verre en ville mais sinon je ne faisait rien de bien transcendant.

Il faisait maintenant nuit, on était mercredi et je commençait à tourner en rond. J'allais commencer à me faire chauffer un bête plat à micro-onde quand soudain j'entendis du grabuge en bas de chez moi. Au début je ne tiltais pas trop, en effet c'est la routine quand on habite dans les dock d'avoir des bagarre de mecs bourré, des règlements de compte entre putes ou ce genre de choses... A force on n'y prête plus attention. Mais quand même au bout d'un moment j'allais jeter un œil par la fenêtre... PUTAIN MAIS QU'EST-CE QU'ELLE FOUT LA ?! ET EN PLUS DANS LA MOUISE AVEC DES MARINS ! Ho purée …

Sans même avoir pris de le temps d'enfiler mon manteau, je pris juste mon holster avec les deux flingues et descendu en T-shirt et pantalon (même pas mis les chaussures) et quatre à quatre les escalier afin d'arriver rapidos dans la rues ou je vis de suite Lystern en mauvaise posture tentant de se défendre avec un morceau de bois provenant sans doute d'un tonneau.

« Allez la gamine, tu va bien venir nous réchauffer le cœur non ? » déclara le plus gros de tous, le chef sans doute.
« Vous rêvez ! Jamais vous m'approcherez ! »

Et en effet elle ne les laissait pas venir, un marin en fit l'amère expérience en se recevant un coup de latte dans le coin de la gueule. La gamine semblait avoir une bonne patate !

« Rhaaaaaa gamine je crois que tu pige pas... On vient de débarquer de 3 mois de mer sans voir ni femmes ni magasine coquin. Donc tu va nous faire le plaisir de faire happy-hour et d'ouvrir tes jambes qu'on te démonte la cale et la dunette arrière. »

BANG

Soudain une détonation retentit, le marin au beau discours sursauta légèrement et se retourna, cela fumait a ses pied. Je m'approchait de lui, un de mes flingue que je laissait pendre nonchalamment au bout de ma main gauche pendant que l'autre flingue me servait à me gratter l'arrière du crâne.

« Sympa votre petite réunion les mecs. Je peux participer ? »
« Kedran ! » lança Lystern à la fois heureuse et inquiète de me voir.
« Qu'est-ce tu nous cause le rouquin ? On veut pas de toi ici, laisse nous négocier tranquille ! »
« Négocier ? Tu appel ça négocier ? Et bah mon pote … Quoi que tu es à négocier je me doute que ça ai la longueur nécessaire... » Disais-je en lançant un regards satisfait et un sourire malicieux.
« Espèce de ... »

Le marin au beau discours se mit à me foncer dessus, classique. Je l'évitait avec aisance tout en lui claquant le cul d'un royal coup de pied qui le fit tomber à terre. Ce qui ne le calma évidemment point. Les autres semblait ne pas régir, c'est beau de voir de gentils petits toutous attendre l'aval de leur chef pour attaquer.

« MAIS QU'EST-CE QUE VOUS ATTENDEZ POUR LE TUER CE TYPE PUTAIN ! VOUS LE VOULER CE COUP OU PAS ?! » lança-t-il, le nez en sang.

Ha, voilà la cavalerie. Enfin. Quatres marins, dont deux semblant bien avinés (ou en tout cas plus que les autres) commencèrent a se ruer sur moi en essayant de placer quelques coups. Ni une ni deux j’esquivai les coups, j'espère qu'ils savaient mieux naviguer qu'ils ne savaient se battre sinon la marine avait des soucis à se faire. Pif, Paf, Clack, deux trois bras et gueule cassés plus tard les badauds étaient a terre et moi toujours sans égratignures. Leur chef n'avait toujours pas bougé son gros cul, par contre en voyant sa troupe tomber au champs d'honneur de la baston au corps à corps il décida de la jouer déloyal et sorti un flingue. Typique. Il commença à tirer à tout va en ma direction, je projetai Lystern à l’abri derrière un regroupement de caisse de bois et ré-dégainais mes deux desert eagles modifiés de la mort pour ma trogne. Le gros commençait à me gonfler.

« Ok mon coco, alors un faut apprendre à viser et deux, faut apprendre à pas me foutre en rogne. Hasta la vista bitchi. »

Le gros continuait de tirer comme un porc avec son flingue, un vrai con bigleux incapable de viser juste et ça se voulait passer une soirée à tirer un coup ? Ha laissez moi rire. Je commençait moi aussi à tirer joyeusement en courant vers lui, le seul but de mes coups de feu était de le déstabiliser afin de m'assurer de pouvoir approcher sans me prendre une bastos dans le melon. J'entendais les balles siffler et ricocher sur le sol, l'adrénaline était à son maximum, j'étais comme en transe. 2M, puis 1, j'étais maintenant collé au marins qui ne compris rien du tout à ce qu'il se passait, tout ce qu'il tiltait c'était la pression chaude du métal de mon flingue sur son front.

« Que... Comment ? »
« Ta gueule gros lard, c'est magique. » Même si cela ne l'étais pas.

BANG.

J'avais tiré. J'entendis la voix de Lystern hurler de peur. J'entendis ensuite un bruit de liquide qui coule. Ce gros lard s'était pissé dessus. En effet j'avais décidé d'être sympa et de juste lui foutre un coup de pression en tirant au dessus de lui, ce qui marcha, au vu de l'odeur et du visuel. Il tomba sur le sol, choqué, se releva ensuite pour décampé laissant ses potes dans la merde et la douleur des fractures.

« C'est ça ouai... Cours, ça te fera bouger ton gros cul. »

Je me dirigeais vers Lystern qui était tout recroquevillée sur elle même suite à tout ces bouleversements. Je lui tendis la main.

« C'est finit gamine. Il t'emmerderont plus. »

H.R.P : HAHA Enfin de l'action /o/ Bon désolé pour le crobard pourris... J'illustrerais plus avec des trucs à l'arrache X)

Le même jour, la même nuit. Dans mon appart flottait une ambiance sereine, la lumière tamisée de ma lampe halogène donnait une ambiance suaves et décontracté. En toile de fond, une bande son, la douche qui coulait accompagné en grande pompe par la cafetière dont le café commençait à couler rajoutant à tout l'odeur caractéristique du liquide ébène.

Je nettoyais tranquilos mes flingues pendant que Lystern prenait une bonne douche pour relâcher la pression suite à ce qu'il s'était passé en bas il y a de ça maintenant une heure. La pauvre était dans un sale état que ce soit à l'extérieur comme à l'intérieur... Faut dire, traîner toute seule dans les quais le soir c'est pas la meilleur idée à avoir. Mais bon tout ça c'était finit et je lui avait conseillé de crécher chez moi quelle que soit sa raison de venir me retrouver, sans doute encore cette histoire de runes magiques.

Soudain la douche s’arrêta et à peine quelques instant plus tard je la vis sortir de la douche habillé de quelques vêtements, trop grand pour elle évidemment, que je lui ai passé afin de nettoyer les siens. Elle resta posté devant la porte de la salle de bain, je la regardait dans ces vêtements dix fois trop grand et je réalisait très vite que je la matait depuis plus de 20secondes vu le bruit retentissant de la cafetière en fin de cycle. Je me soulevait instantanément de ma chaise, me dirigeant tout gêné vers la dites machine qui suppliait qu'on l'a stop.

Moi, gêné... On dirait un gamin...

« Combien de sucre déjà dans ton kawa ? »
« Heu... 2 s'il-te-plait. »


« Ok. Tiens, tu as droit à la tasse Bob l'éponge pour te remonter le moral ! »
« Bob l'éponge ? »
« Hum. Donc vous les Djarallah vous connaissez vraiment rien hein ? Il va vraiment falloir que tu me raconte tout ça... »
« C'est justement pour ça que je suis venue... » Dit -elle durant que je lui passait sa tasse de café.
« Fait gaffe c'est brûlant. Écoute, je sais que cette histoire te tiens à cœur mais au point de venir de nuit... On est bien d'accords que le look des lieux annonce la couleur quand à sa dangerosité non ? »
« Oui... C'est vrai... »

Et voilà que je la sermonnait... Ou en tout cas c'est ce qu'elle devait penser. Abruti.

« Désolé. Bon écoute fais comme chez toi jusqu'à ce que tu veuille partir. Normalement ils ne devrait plus t'emmerder. Ou en tout cas leurs attentions sont porté sur moi maintenant. »
« Tu veux dire qu'ils vont se venger ? »
« Évidemment. Tu sais ces gars la ne comprenne jamais la première fois. Mais j'ai l'habitude ne t'inquiète pas. »
« Kedran. Tu semble avoir toi aussi avoir des choses à raconter. »
« Tout dépendra de la valeur de ce que tu as à raconter. »



« Bon. Il temps que je te parle de ce que tu es, de ce que nous sommes. Notre histoire. »
« Ha chouette ! Je retourne à l'école ! »
« S'il-te-plait... »
« Pardon. »
«  Je fais partie de la peuplade des Djarallah. Nous étions avant, avant la Jonction, un peuple qui vivait tranquillement sur une grand île maintenant disparu, mélangé aux reste du monde ou bien éparse dans le grand univers, nous ne savons pas exactement. ,Si il n'y avait que ça dans mon histoire tout serait plutôt rose et merveilleux. Mais ce n'est pas le cas, car comme dans toute bonne histoire un élément viens perturber le calme ambiant... »



« ...Et cet élément fut notre différence du à nos runes et notre rapport obligé avec les autres cultures suite à la jonction des trois mondes. Avec cela nous avons découvert d'autres Djarallah cependant dotés d'autres pouvoirs mais aussi certains n'ayant comme spécificités qu'une intelligence et une technologie plus avancé. Mais comparé au reste du monde nous n'étions que troupeau de moutons dans la vaste prairie. Et les Moutons sont chassé. »


« Comment ça ? Qu'est-ce qui est arrivé ?»
« He bien... Vois tu, ces runes que nous portons au front sont tel des catalyseur, ils nous aide à concentrer notre énergie magique. Cela augmente la puissance de notre magie, chez les Djarallah maîtrisant l'art alchimique cela leur permet d'aposter des soins plus efficacement par exemples. De nombreuses possibilités. »
« Et chez les autres ? Je veux dire les intello-ingénieur ? »
« Et bien heu. A vrai dire ce n'est pas vraiment clair, même pour eux. Ils n'ont pas d'énergie magique. Il semblerait que leurs runes ne soit présentes sur leurs fronts seulement par hasard. Quoi qu'il en soit ils subirent eux aussi la traque. »
« La traque ? »
« C'est le triste nom que nous avons donné à cette période s'étant terminés qu'il n'y a que quelques décennies. Quand les 3 mondes furent unifié, notre îles disparu et nous terminâmes tous sur des terres inconnues. Beaucoup d’entre-nous avaient perdu des membres de leurs familles dit-on lors du cataclysme. Et une fois arrivé sur ce qui plus tard sera nommé Blend Awake, nos ancêtres durent rentré en relation avec les autres race et civilisations. »
« Cela sens mauvais tout ça... »
« Au début non. Nous arrivions à nous entendre avec les populations autres. Mais quelques années plus tard, après avoir appris à nous connaître, nous fûmes chassés pour nos runes. Les Alchimistes déclarèrent que cela pourrait aider à améliorer leurs talents, les Mages leurs puissances et les Technologues eux se mirent en têtes qu'ils pourrait sans doute essayer de maîtriser l'énergie magique afin de rivaliser et d'écraser même les autres civilisations Alchimistes et Mages. Ainsi commença 150ans de traque, d'expérience, de tuerie, de descente aux enfers pour mon peuple... Et puis un jour tout s’arrêta, les Alchimistes et Mages réussissait certes à utiliser nos runes, mais n'étant que des catalyseur l'effet n'était que temporaire. Quand aux Technologues, ils ne réussirent jamais à dompter l'art de la magie. Ils décidèrent de nous laisser sur le bas côté du monde. Sans aucune aide. Depuis nous essayons de penser ces blessures mais nous sommes peu, extrèmement peu... »
« Je vois... »


« Et bien... En effet c'est une longue histoire... Je ne m'attendais pas à tout ça. »
« Je sais que ça paraît énorme, surtout qu'il semblerait que l'on n'en parle pas trop de par chez toi. »
« En effet... Bon je n'ai jamais vraiment suivit une scolarité normale mais de ce que j'en sait … Nada. »
« Comme si ils ne voulaient pas que ça se sache... »
« Sans doute... Bon écoute, je vais te proposer un truc. On va manger un morceau dehors, ça nous fera du bien après tout ça, puis tu me racontera tranquilou ou est-ce que je suis dans tout ça. Deal ? »
« … Ouai, ok, deal. »
« Allez viens. »