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 Do what you want 'cause a pirate is free...

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Sélène Hayward-Jones

Sélène Hayward-Jones


Messages : 1476
Date d'inscription : 02/01/2010
Age : 42
Localisation : Range Harbor


Age du Personnage : 30ans
Alignement: Neutre Bon
Classe - Fonction: Mage Invocateur
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MessageSujet: Do what you want 'cause a pirate is free...   Do what you want 'cause a pirate is free... EmptyJeu 14 Mar - 2:54

En ce jour de Mars il fait beau sur le territoire de la Citadelle. Surplombant de ses magnifiques tour et remparts le paysage bucolique de l'île sacré, la Citadelle rayonne au côté du soleil au zénith.

Dans les couloirs du donjon principale, des cliquetis d'armure et une marche pressante se fait entendre. Une femme à l'allure magnifique et aux cheveux noir de jais s'avance en direction de la salle des prédictions.

L'immense double-porte, richement décorée à l'effigie des grandes victoire de l'Ordre dirigé par une grande figure féminine à l'allure de Déesse, s'ouvre. La jeune femme pénètre à l'intérieur, une longue silhouette s'avance près d'elle, une femme à l'allure d'une harpie, Isadora la grande prêtresse d'Elshaana. La jeune femme en armure se met à genoux, prêtant comme à l'accoutumé allégeance à sa prêtresse.

« Bien chevalier Sélène. Relevez-vous. »

Sélène releva la tête, remarquant la jeune femme blonde qui suit toujours la grande prêtresse au fond de la salle. Elle regarda à son tour Sélène d'un air neutre, étrange.

« Vous m'avez demandé ma dame. Une mission nous à été confié ? »
« En effet chevalier. Une mission importante. Une entité que nous traquons depuis longtemps et que nous avions perdu de vue refait surface. »
« Qu'elle est-elle ? » demanda tout naturellement Sélène.
« D'après le veilleur que nous avons posté là-bas, il semblerait que ce soit un capitaine d'un vaisseau de bandit des mers, des pirates. Nous ne savons pas exactement ce que prépare ce démon des mers, mais quoi qu'il en soit l'Ordre doit intervenir pour purifier cet impie. » expliqua Isadora d'un air sévère.
« Il en sera fait Ma Dame. Quand dois-je partir ? »
« Le plus tôt possible. Un thaumaturge va vous transporter là-bas. Vous devrez ensuite rencontrer le veilleur sur place et tenter de vous infiltrer. »
« Il en sera fait ainsi Ma Dame. » déclara Sélène tout en s'abaissant devant la grande prêtresse.
« C'est terminé. Vous pouvez y aller. »
« Bien. Équilibre et Ordre. » déclara-t-elle, le poing sur le cœur.
« Équilibre et Ordre. »

Sélène quitta la salle, alors que Isadora se redirigea avec grâce vers la jeune femme bonde, et se dirigea vers ses quartiers afin de se préparer au départ. Firion attendait sur sa couche le retour de sa maîtresse et à son entrée il se leva d'un bon et s'approcha d'elle. Sélène le caressa avec amour et se mit en quête pour faire ses bagages. Elle n'est pas du genre à prendre énormément de chose, le strict minimum voir rien du tout. Elle préfère plutôt s'adapter là-bas, surtout que cette fois-ci Isadora à laissée entendre qu'elle devrait s'infiltrer. A peine repensait-elle à ça qu'elle décida tout compte fait que de ne prendre rien à part son djinn évidemment.

« Allez Firion, allons-y. On nous attends. » fit-elle en regardant son familier dans les yeux. Firion, à ces mots, remua son petit museau en signe d’acquiescement.

Tout deux se dirigèrent donc vers la salle du portail de Cullis. Portail servant aux mage Thaumaturge à se téléporter eux et d'autres personnes de façon simple à travers des endroits connues de eux-même. Cette salle, comme le reste de la Citadelle d’ailleurs, est magnifiquement réalisé, le portail résidant au milieu de la pièce arbore en son centre, sur le sol, le sceau de l'Ordre. Tout autour du portail sont érigé 4 statuts à l’effigie d'icône féminine mage. Le reste de la salle est plutôt classique pour ce genre de bâtiment mage, de la pierre brut habillée ça et là par de grandes broderies finement réalisé contant les exploits et l'histoire de l'Ordre.

Nos deux preux compère arrive enfin auprès d'un jeune garçons habillé d'une longue robe de couleur rouge et noir et encapuchonné.

« Bonjour Téléporteur. »
« Dame Sélène. Dame Isadora m'a tout expliquée, si vous voulez bien vous donner la peine. »
« Très bien. Firion ? Monte. »

Le lapin sauta aussitôt sur l'épaule de sa maîtresse qui s'avança ensuite au centre du portail de Cullis. Le Téléporteur les rejoint et commença à prendre une posture de prière, il débutait le processus.

Sensation bizarre. Tremblement intérieur, Frion se cramponne à Sélène, ça commence.

Vide, noir, sensation de légèreté et légère nausée.

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Arrivé. Les yeux s'ouvre sur une ruelle humide. Au loin on entend la foule, la populace bûcheuse du quartier des docks , car les docks c'est là que Sélène et Firion on débarqués. Une odeur désagréable d'humidité lié aux odeurs de poissons et de crasses viennent s’immiscer dans les narines encore parfumées il y a peu des senteurs de la citadelle. Une moue de dégoût se désigne sur le beau visage de Sélène, mais il va falloir qu'elle s'y fasse, l'aventure qui va suivre ne sera pas de tout repos.

« Venez par ici ! Dame Sélène ! Psst ! »
« Comment ? » Demanda-t-elle pendant que le Téléporteur disparu pour la Citadelle.
« Ici ! Pssssst ! »

Sélène tourna la tête tout autour afin de voir d'où venait ces appels incessant. Elle finit par trouver la source qui venait d'une porte ouverte d'où apparaissait un jeune homme habiller comme un technologue, le genre petit vendeur de journaux à la criée. Il faisait des signes à Sélène de venir le rejoindre.


« Par ici Dame Sélène ! Je suis le Veilleur que vous attendez ! Il ne faut pas que l'on vous remarque comme ça, rentez ! »
« Oh ! Très bien ! »

Firion descendit de l'épaule de Sélène et à peine les pattes par terre, regretta d'être descendu au vu de l'humidité de l’endroit. Il se secoua les pattes et suivit Sélène dans l'habitation. Une fois dedans, le jeune homme ferma la porte en jetant avant un coup d’œil à droite, à gauche.

« Bien, il n'y avait personne, heureusement... »
« Vous êtes bien jeune pour un veilleur. » remarqua Sélène.
« Vous savez, c'est pas les mêmes codes que pour vous les chevaliers ma dame. Et puis j'ai tout de même 16ans. » riposta le jeune garçon. « Sinon moi c'est Simon. »
« Enchantée. Bien, qu'avez vous à m'apprendre au sujet de la quête ? »
« Bien des choses si vous voulez mon avis ! Vous allez devoirs pourchasser Esmerard le terrible. Le capitaine du Vagabond. Son véritable nom d'entité est Mordecaï. Je n'ai pas réussis à savoir ce qu'il veut vraiment, ni quel est son plan, mais ce que je sais c'est qu'il recrute des hommes pour son navires afin de partir à la recherche d'un manuscrit. Mais je ne sais pas de quel manuscrit il s'agit. Vous allez devoirs vous occuper de trouver les réponse à ces question. »
« En m'infiltrant c'est bien ça ? »
« Exactement ! Et pour ça j'ai tout ce qu'il vous faut ! C'est dans le coffre à l'étage. » affirma-t-il avec enthousiasme.
« Où sommes nous, Simon ? » Interrogea-t-elle. Firion reniflant un peu partout.
« Ici ? À l'arrière pièce d'une auberge du coin. Mais ce n'est pas important, nous devons vous enlever l'armure de l'Ordre et vous faire ''belle'' pour le recrutement. »
« Bien, bien... Je monte. »
« Vous devriez vous débrouiller seules je présume donc je vais pendant ce temps régler quelque chose. Ne vous inquiétez pas, le patron de l'auberge est au courant. A tout à l'heure. »

Ni une, ni deux, Simon partit. Laissant Sélène et Firion seul. Ils montèrent tout deux les escalier et finirent par entrer dans la seul chambre ouverte. Un mot était posé sur le lit, non signé. Le mot décrit ce qu'il y a dans le coffre : une tenue de pirate et quelques objets utile. Sélène se dirigea ensuite vers la porte, la ferma à double tour puis vint en direction du coffre, l'ouvrit et commença à se changer. Firion pendant ce temps regarda par la fenêtre la vie extérieur, la vie des docks. Une chose ben étrange pour un Djinn. Tant de gens qui s'active, dans le bruit et la fumée, dans la brume et les tonneau qui roule pour descendre des immenses bateaux commerçant. Une vrai fourmilière.

Nous passerons les moments où la dame se change, la nudité d'une dame ne se gagnant pas si facilement au détour de quelques mots et phrases. Nous passerons aussi les moments séparant les conseils de Simon, qui revint vite, sur comment bien se comporter dans la société des pirates. Rendons nous directement au moment qui nous intéresse : le recrutement.

C'est dans une taverne aux allure de taudis que cela avait lieu. Un lieu bien cliché pour un si sombre rendez-vous. Sélène pénétra à l'intérieur, habillée de sa nouvelle tenue. Elle n'était guère angoissé, Simon l'avait bien briefé sur comment se comporté et, étant sur sur d'elle, s'avança prêt d'une table au fond de la taverne. L'ambiance y était sale, sombre et éclairé à la bougie ce qui n'arrangeait rien au coté dérangeant du lieu. Tout le monde regardait du coin de l'oeil la jeune femme marcher vers le fond du lieu. Il semblerait qu'il ne soit pas coutume en ces lieux de voir présence féminines. Mais elle n'en avait que faire, importait que la mission.

A peine arrivé à la table d'Esmerard, Sélène évite de justesse un homme jeté au loin d'un coups de pied au fondement. En effet il venait d'être recalé par le capitaine qui fit travailler son garde du corps personnel.

« Douuuuucement ''La Brutasse'' ! Vas pas non plus le tuer ! Combien de fois je t'ai dit d'y aller plus tendrement dans le coup de pied au cul ! » gronda le capitaine, qui arborait tout de même un sourrire.
« Grrrrr » geignit La Brutasse qui ne semblait pas bien bavard et sur les nerfs.

Sélène s'avança.

« Oh mais La Brutasse ?! Écarte toi et laisse moi qu'elle belle poupée les mers nous ont apporté ! Ils se fait rare ici de voir de belle jambes. » Déclara-t-il en allumant sa pipe de marin.
« Et les mers, c'est ce dont j'ai besoin. C'est bien ici le recrutement? »
« HA ça oui ma bonne dame mais je pense que vous devez connaître la règle... »
« Aucune femme à bord ? Ai-je l'air d'être une simple femme bonne à enfanté ? Si je suis habillée comme ça c'est pas pour carnaval donc vous avez intérêt à me porter plus d'attention sur mes qualités que sur mon décolleté. » gronda-t-elle, les mains sur les hances tout en lançant un regard noir à Esmerard.

« Hoooo hohoho tu entends ça La Brutasse ?! C'est qu'elle en a du cran la gamine de parler comme ça au viel Esmerard ! »
« Grrr » sembla acquiesser La Brutasse qui commençait à bouillonner sur place suite à ce que dit Sélène.

Et en parlant de vieil, il n'avait pas tord. Non pas qu'Esmerard soit grabataire mais en tout cas il était dans la force de l'âge, une bonne cinquantaines avec tout ce qui suit une vie de flibustier, certaines dents absente au combat, un visage cerné et habillé d'une barbe de 3 jours. Nous avions ici un magnifique spécimen de vieux loup de mer féroce. Il a les épaules large, les cheveux présent mais clairsemés et courts, il était habillé d'une redingote qui devait à l'époque où il l'a obtenu, verte, d'un tricorne de la même acabit.

« He bien ma bonne dame. Nous allons voir ça. Je vais vous prendre à l'essai le temps que le bateau mouille au port. Mais ne croyez pas que ce sera une partie de plaisir. La Brutasse, fait lui signer le papier ! »
« Rrrrruuuuhg. »

La montagne de muscle et de bêtise s'avança prêt de Sélène qui resta sur ses gardes. Il lui tendit un papier qui était écrite magnifiquement par la main du capitaine. Étonnant. Sélène signa et c'est ainsi que finit notre première partie.

[H.R.P] Pardon, c'est vraiment un énooooorme post que je vous ai pondu. Je sais que ça risque d'être indigeste mais il était nécessaire vu que je n'ai pas joué Sélène sur le forum depuis un moment.
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Sasarei Holkaìn

Sasarei Holkaìn


Messages : 486
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MessageSujet: Re: Do what you want 'cause a pirate is free...   Do what you want 'cause a pirate is free... EmptyDim 28 Avr - 15:17

Sasarei pencha sa tête en arrière jusqu’à ce qu’elle touche le mur derrière elle et ferma les yeux pour ne plus voir où elle était. Assise dans sa cellule. Une pièce qui faisait deux mètres sur trois et était pourvue d’un seau et d’une paillasse aussi dure que la pierre. L’unique lumière provenait d’une minuscule fenêtre au-dessus d’elle équipée de barreaux fermement scellés. Bref tout le confort moderne ; elle en aurait presque oublié les chaînes. Des anneaux gros comme son poing reliaient ses poignets au mur du fond, extrêmement solides mais la chaîne était assez longue pour lui permettre de s’allonger. Elle inspira une bouffée d’air fétide, soupira et se remémora une énième fois ce qui l’avait conduite dans ce trou…

*

Elle venait d’accepter une mission de protection en tant que mercenaire. C’était le capitaine alchimiste d’un navire marchand qui était venu la trouver, elle devait veiller sur la cargaison d’épices, de vaisselle peinte et de tissu qu’ils transportaient à Gillingham, puis sur l’argent et le matériel technologue au retour, ainsi qu’à la sécurité des membres de l’équipage. Et en plus d’un voyage intéressant, le salaire était très attractif. Elle n’avait pas hésité.

Le trajet vers Gillingham avait été très paisible, trop même. Sasarei n’avait eu que quelques problèmes mineurs avec l’équipage, selon qui une femme serait incapable de les protéger ou même de servir à quoi que ce soit d’autre que leur tenir compagnie dans leur lits. Quelques coups bien portés et la menace de leur couper toute envie de se reproduire avaient rapidement mis un terme à cela. La mer fût calme et le vent avec eux. Ils accostèrent à Gillingham au matin du cinquième jour.

Le capitaine avait conseillé à Sasarei de visiter un peu la ville le temps qu’il décharge sa cargaison et règles ses affaires, de toute façon, le Nénuphar ne repartirait pas avant la fin de l’après-midi. Elle ne s’était pas fait prier et sa curiosité fût récompensée. Elle avait déjà visité des villes technologues auparavant comme New-Lyna-Port ou certaines villes côtières d’Eucy en Hérakléo mais aucune n’avait le raffinement de Gillingham. Elle se rappelait de hautes bâtisses plus ou moins décrépies, des rues mornes et sales. Et une pollution infecte qui vous rongeait de l’intérieur. Gillingham était différente, ses bâtiments étaient élégants, leurs ornements fins et les bas-reliefs délicatement sculptés. Même les gouttières étaient plaisantes, avec leur bouche en forme de tête de lion, de poisson ou d’autres créatures étranges et inconnues. Les habitants étaient fort courtois et Sasarei fût surprise d’en croiser quelques-uns qui la saluèrent en tikhvine alors qu’elle était étrangère. Elle traversa un fleuve, se promena dans un parc et ne pût résister à déguster un excellent gâteau aperçu dans la vitrine éblouissante d’un marchand, elle dût batailler avec ses rudiments de tihkvine mais on finit par la comprendre et lui servir sa gourmandise avec un thé, bien qu’elle n’ait pas commandé le moindre breuvage. Elle fût de retour au bateau avant la fin de l’après-midi. Deux heures plus tard, le Nénuphar levait l’ancre pour Range Harbor.

*

Mais, le deuxième jour, tout c’était gâté. La vigie avait repéré deux navires loin derrière eux et tous deux arboraient le pavillon noir au crâne des pirates. Le moral de l’équipage était tombé d’un coup. Plus de plaisanteries lancées au vent, de joyeux sourires, ni de chansons plus ou moins paillardes fredonnées sur le pont. Tous les marins restaient fermés, concentrés sur leurs tâches, s’activant à faire avancer le bateau plus vite et priant silencieusement pour que le vent les aide à distancer les deux navires.
Mais leurs prières ne furent pas entendues. A chaque heure qui passait, ils voyaient se rapprocher leurs poursuivants. Toujours plus près, malgré tous leurs efforts pour les semer, ils les talonnaient. Et la nuit ne leur fût d’aucun secours, car une pleine lune brillait de tous ses feux, les empêchant de se dissimuler au regard de l’ennemi. Au matin ils furent violement abordés, pris en tenaille entre les deux navires et malgré toute sa rage au combat, Sasarei ne pût ni venir à bout de leurs assaillants, ni sauver tout l’équipage. C’étant trop téléportée pendant la bataille, elle n’eut pas assez d’énergie pour faire un « bond » jusqu’à Range Harbor et fût faite prisonnière avec d’autres membres de l’équipage, après avoir perdu son arme contre un téléporteur ennemi. Elle comprit vaguement que ses talents intéressaient le capitaine, et qu’elle n’allait pas être exécutée sommairement lorsqu’elle entendit ledit capitaine crier à ses hommes qu’elle pourrait faire une bonne recrue. Ensuite le contrecoup de son « saut » manqué vers Range Harbor l’assomma. Elle resta inconsciente deux jours pleins et se réveilla courbaturée et endolorie, enchaînée dans une cellule.

Dix jours s’était écoulés depuis, et elle n’avait toujours aucune idée de l’endroit où ils l’avaient amenée ni à qui elle avait affaire…


[Hrp]: J'ai encore mis super longtemps à répondre, veuillez me pardonner ^^' . J'espère que la description de Gillingham que je me suis risquée à faire correspond à la réalité et j'espère aussi que l'on comprend pourquoi Sasarei ne peut pas s'évader (moi ça me paraît évident mais si certains se posent des questions j'expliciterai un peu plus)
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